Juillet 2020 : Portfolio sur la série faite avec les détenus à la prison de Plœmeur visible sur le site de Libé  :
« Tout l’été, la notion de temps revisitée par des photographes. Aujourd’hui, un atelier photo de Vincent Gouriou avec des détenus de Plœmeur, dans le Morbihan. L'occasion d’interroger l’imagerie qui entoure la figure du «taulard», à la masculinité aboyeuse. »
Février 2020 : Un portfolio sur ma série "des familles" dans le magazine culturel Sud-Coréen : "Chaeg" - Special# GENDER
Mars 2020 : article de Dominique Cresson pour Ouest-France (exposition "Promenons-Nous" aux Ateliers des Capucins à Brest, #Report'images)
Mai 2018 : En couverture du magazine Réponses Photo du mois de juin 2018 avec un dossier de 14 pages dans la rubrique "Inspiration" - à l'occasion de mon expo solo parisienne / Galerie David Guiraud
Février 2016 : CNN International | Diaporama et interview sur la série « des famille(s) »

Lien : http://edition.cnn.com/2016/02/07/living/cnnphotos-redefining-families-france/index.html
Portfolio dans le magazine Néon #68 octobre-novembre 2018
Dans le magazine en ligne : l’œil de la Photographie : "Vincent Gouriou : les instants d'abandon", mai 2018
https://loeildelaphotographie.com/fr/les-instants-dabandon-de-vincent-gouriou/
19 mai 2017 - Ouest-France / Texte de Dominique Cresson sur l'exposition "Promenons-nous" à voir jusqu'au 30 juin à la Maison de la Fontaine à Brest, en partenariat avec l'association DIVERSGENRES
Janvier 2017 : Télégramme, Quatrième de couverture dans le Télégramme Bretagne, Article de David Cormier
Novembre 2016 : Vincent Gouriou : une histoire de genre humain, Ecrit par Karine Baudot dans Art plastiques
Juin 2016 : Ouest-France, Article de Dominique Cresson-Rybakov
Novembre 2015 : Le Télégramme | Article sur la série « des famille(s) » d’Isabelle Nivet

Lien : http://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/portrait-francoise-danielle-mariees-militantes-09-12-2015-10881419.php
Octobre 2015 : Ouest-France | Workshop au CAP, Article de Dominique Cresson-Rybakov
Juillet 2015 : Ouest-France, Article de Dominique Cresson-Rybakov
Février 2015 : Réponses Photo : tribune sur le thème de la censure
Novembre 2014 : Ouest France, Article de Dominique Cresson-Rybakov
Côté Ouest, novembre 2014
Magazine BnF – Numéro 69 de Chroniques (Bourse du talent)
« Coup de coeur » de Arts Hebdo Média, Corinne Callebaut, Février 2014 (Festival Circulations)
« Coup de coeur » de Culture Box – FranceTV, Valérie Oddos, février 2014 (Festival Circulations)
Sortir à Paris, Février 2014 (Festival Circulations)
Paris Match (Web), Février 2014 (Festival Circulations)
Grazia (Web), Février 2014 (Festival Circulations)
L’œil de la Photographie, Février 2014 (Festival Circulations)
Ouest France, février 2014 (Pluies d’images) Article de Dominique Cresson-Rybakov
Ouest france, Dominique Cresson, janvier 2013 (Expo CAP)
Ouest France, décembre 2013 (Expos parisiennes) Article de Dominique Cresson-Rybakov
Extraits presse papier / internet :

Lors de l’exposition collective "Diagonale" 2×16, au pavillon Carré de Baudoin à Paris (20ème), soutenue par le Centre Atlantique de la Photo, 2015 :
Vincent Josse
« Le Brestois Vincent Gouriou présente ses images tendres de l’humanité qu’il croise près de chez lui. Couples mono parentaux, transsexuels, une jeune fille ronde qui semble caressée par le pinceau d’un peintre, un enfant enfermé dans une gaine et pourtant impassible. Ce photographe, attiré par la marge, parle de la douleur, avec comme prisme, sa profonde douceur. On est frappé par sa maîtrise du numérique et de la lumière. Gouriou ira loin, d’ailleurs, non: il est déjà loin. »
 Libération
« Parmi eux, les séries de Vincent Gouriou, qui approche familles homoparentales, sexualité et transgenre en milieu rural (avec le Centre atlantique de la photographie à Brest) ou les lutteurs au crépuscule de Nolwenn Brod (avec la galerie Le Lieu à Lorient). »
Télérama
« On aime la finesse des « Dialogues silencieux » (2009-2016), de l’Ukrainienne Viktoria Sorochinski, capturant les liens tacites entre les personnages, comme celle aussi de « Singularité(s) » et « Familles(s) », de Vincent Gouriou. »

Il signe Le passage. Un parcours sans faute et une réussite fulgurante pour ce jeune photographe (Ouest-France du 22 novembre 2013). Une musique de l’intime qui n’a pas peur des dissonances. Une vague d’idées silencieuses qui trouve sa traduction en un point d’orgue intense rejetant toute facilité.
Par Dominique Cresson
Le photographe est partout depuis un an. Plusieurs fois primé, exposé jusqu’en Malaisie, on peut dire qu’il a le vent en poupe.
Ses portraits intimes et porteurs d’expressions de la différence séduisent ou dérangent, mais ne laissent jamais indifférent. À Paris, la BNF vient d’acquérir plusieurs de ses œuvres. Une notoriété qui lui vaut d’être un jour contacté par des représentantes des Femen.
« Elles ont découvert mon travail quand j’exposais au Centquatre pendant le festival Circulations. Elles étaient deux, Marguerite et Sarah. Celles qui sont ensuite parties en Crimée, rappelle Vincent Gouriou. Elles avaient un fonds photographique énorme d’elles en action, mais elles voulaient des photos en intérieur et avec une dimension autre que celle du reportage. » Des photos plus artistiques, plus posées en tout cas. « Là, on est sur un fil, car une Femen ne doit pas se mettre en avant personnellement. »
Comment traduire l’intimité en respectant « ce masque qu’est leur nudité. Il y a d’ailleurs toujours quelque chose d’écrit sur leur corps ». Vincent Gouriou fait d’abord des portraits, sobres et métaphoriques, comme il sait bien le faire. C’est la série exposée au CAP.
Et la relation avec les Femen ayant évolué, il travaille aujourd’hui sur des triptyques où il allie portrait, nature morte et un élément plus doux. « Il faut que cela convienne à tout le monde. Respecter leur message tout en gardant ma personnalité. » Si le photographe avoue que la forme d’engagement des Femen est éloignée de ce qu’il est, il rejoint leurs luttes sur de nombreux points et s’avoue féministe lui-même.
Par Valérie Oddos
(…) Dans les coups de coeur de Culturebox
Le photographe brestois Vincent Gouriou, lui, a fait une magnifique série de portraits (« Singularités »). Il s’intéresse aux transformations, qui peuvent être liées à l’adolescence, à la maladie, à la vieillesse. Il s’intéresse aussi à l’identité sexuelle et s’interroge sur la normalité. « Je cherche un abandon, je cherche à faire tomber les masques. J’essaie de trouver ce qui est universel, de trouver un lien » entre ces personnes.
Résultat, quelque chose d’incroyable unit tous ses sujets, souvent des proches de l’artiste, pourtant apparemment si différents : une religieuse âgée, une petite fille, un transsexuel, un adolescent, un enfant enfermé dans un corset… C’est parce que ces images sont comme un autoportrait, dit l’artiste. Dans sa quête de « quelque chose de sincère, de simple » chez chacun, il est aussi à la recherche de lui-même. (…)
Par Corinne Callebaut
(…) Dans les coups de coeur de Arts Hebdo Media
Egalement désignée Coup de cœur de la Bourse du Talent 2013 dans la catégorie Portrait, la série Singularités de Vincent Gouriou donne à voir les visages de personnes au physique « hors normes », du fait de leur âge, de leur maladie ou encore de leur choix de changer de sexe. Impossible de ne pas être touché par ces images d’une grande beauté plastique, qui suscitent l’envie de connaître l’histoire des modèles. A regarder ce travail au long cours d’une étonnante maîtrise photographique, aux qualités picturales proches des maîtres de la peinture flamande, on a peine à croire qu’il s’agit là d’une des premières expositions du jeune Brestois.
Pour vous faire patienter, et vous donner envie de découvrir ces artistes, on vous présente Singularités, de Vincent Gouriou, qui nous invite à réfléchir quant à la singularité de nos vies, et à la condition humaine à travers des portraits qui ne se ressemblent pas mais nous rassemblent. Vincent Gouriou vit et travaille à Brest.
(…) Il faut dire que Vincent Gouriou est maître ès portraits. En noir et blanc ou en couleurs, c’est cette approche amoureuse de la lumière et de l’intime qui séduit d’emblée. Sans provocation. Sans angélisme non plus. Comme une mosaïque de tout ce qui le compose et qui questionne la condition humaine. Il l’avoue d’ailleurs lui-même. « C’est une quête de vérité et un autoportrait. »
Avec lui, les corps prennent des reliefs insoupçonnés, modelés par les transformations imposées par les étapes de la vie. Sensuels, spirituels, secrets, ils ravivent la question de la normalité et de la différence. Des amis, des proches, des inconnus… Des rencontres qui nécessitent l’abandon, le lâcher-prise pour dire le trouble, le doute, la faille. Ambiguïté, cris étouffés d’une maladie, absence-présence. Des fulgurances décisives. En vis à vis, des paysages qui entrent en résonance. Forcément. Un savant équilibre entre intérieur et extérieur. Les lieux d’exposition se font délicieusement complices. On aime le choix des grands formats qui nous font entrer dans la photo et toucher ainsi le grain de la peau, plonger dans le regard qui se perd ou se donne. (…)
La série Singularités de Vincent GOURIOU nous immerge dans le point de vue du sujet photographié, dans ce qui marque sa différence. Le spectateur est plongé en temps réel dans la souffrance autant physique que psychologique du sujet photographié, une altérité dans laquelle chacun peut néanmoins se retrouver.
Vincent Gouriou is a (rather) young French photographer whose portraits raise a curious moving melancholy in the viewer’s mood. But a strangely happy one since his pictures have a rare sensuality, surely due to the sense of intimacy we share with the model. There’s not in his images, the sometimes freezed scenography of supposely so many poetic portraits, even some I have posted on this blog before. Gouriou shows a much greater empathy with the people than these « makers ». I would say, although I’m not particularly found of the psychological specificities of my country, that he has something that French have shown in their history, this ability to think larger than his own self. To feel that he belongs not only to humanity, but to each individual of this humanity. (…)
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